« Les rêves », une pièce de Ivan Viripaev.
Destination : Les rêves d’héroïnomanes
à la Fabrique de Théâtre de Bastia
Départ : Jeudi 12 Décembre 2013
13h30 – Lycée Giocante de Casabianca
Arrivée : Jeudi 12 Décembre 2013
14h00 – Fabrique de Théâtre
Les élèves de Terminale L 2 et 3 ainsi que les étudiants de Lettres Sup partent à la découverte d’une pièce de théâtre s’intitulant « Les rêves » écrite par Ivan Viripaev.
A 14h00, tout les élèves sont installés dans la salle et attendent que l’histoire commence.
La pièce débute dans l’obscurité totale avec des bruits très étranges : une voix très grave au ralenti qui se multiplie symbolisant la prise de drogue et ses effets auditifs hallucinatoires. Puis apparaît au fond de la scène un panneau rouge « EXIT », en dessous de celui-ci nous apercevons un homme assis dans un fauteuil rouge : « Des rêves. Dans ces rêves il y avait des gens, une porte. Une porte. Ils essayaient d’ouvrir une porte, quelle porte, peu importe. Les gens parlaient, parlaient de choses variées, vraiment très variées. Par exemple ils disaient que la souris était sortie du bocal, que les enfants avaient le nez ridé. Je ne pouvais rien comprendre, rien… Je me souviens bien, dans le premier rêve, ils parlaient de la beauté. La beauté. » C’est sur ces premières tirades qu’entrent en scène les quatre autres personnages. Ils vont nous parler donc de leur premier rêve : La beauté. Au long de leurs monologues, nous découvrirons la fille à la salive marron (un des effets secondaires de la prise d’héroïne), la fille enceinte, le gars qui est tout le temps gelé et le gars bègue.
Dans la première partie, les personnages parlent de leurs rêves, en donnant à tour de rôle leurs impressions : La beauté, la libération, l’amour, Dieu et le nirvana.
Puis dans la deuxième et dernière partie, règne une atmosphère de peur et d’angoisse. Après la mort, les quatre héroïnomanes se réveillent en enfer : toujours dans l’obscurité, de la brume apparaît ainsi que des lumières vertes. Les personnages se retrouvent coincés en enfer, dans la dépendance de l’héroïne. « Ne venez pas, ne touchez pas. Je sais, moi ! » Déclare la fille à la salive marron, une fois en enfer elle réalise que la dépendance représente la fin, la prison éternelle.
Les élèves étaient tous plongés dans l’histoire, aucun chuchotement pendant la scène, aucun portable allumé.
A la fin de la pièce, les avis étaient plutôt unanimes : ils ont tous appréciés l’histoire et la morale qu’a apportée cette pièce malgré les délires étranges des héroïnomanes.
Julie BIOUSSE Terminale 2 – 2013 / 2014
à la Fabrique de Théâtre de Bastia
Départ : Jeudi 12 Décembre 2013
13h30 – Lycée Giocante de Casabianca
Arrivée : Jeudi 12 Décembre 2013
14h00 – Fabrique de Théâtre
Les élèves de Terminale L 2 et 3 ainsi que les étudiants de Lettres Sup partent à la découverte d’une pièce de théâtre s’intitulant « Les rêves » écrite par Ivan Viripaev.
A 14h00, tout les élèves sont installés dans la salle et attendent que l’histoire commence.
La pièce débute dans l’obscurité totale avec des bruits très étranges : une voix très grave au ralenti qui se multiplie symbolisant la prise de drogue et ses effets auditifs hallucinatoires. Puis apparaît au fond de la scène un panneau rouge « EXIT », en dessous de celui-ci nous apercevons un homme assis dans un fauteuil rouge : « Des rêves. Dans ces rêves il y avait des gens, une porte. Une porte. Ils essayaient d’ouvrir une porte, quelle porte, peu importe. Les gens parlaient, parlaient de choses variées, vraiment très variées. Par exemple ils disaient que la souris était sortie du bocal, que les enfants avaient le nez ridé. Je ne pouvais rien comprendre, rien… Je me souviens bien, dans le premier rêve, ils parlaient de la beauté. La beauté. » C’est sur ces premières tirades qu’entrent en scène les quatre autres personnages. Ils vont nous parler donc de leur premier rêve : La beauté. Au long de leurs monologues, nous découvrirons la fille à la salive marron (un des effets secondaires de la prise d’héroïne), la fille enceinte, le gars qui est tout le temps gelé et le gars bègue.
Dans la première partie, les personnages parlent de leurs rêves, en donnant à tour de rôle leurs impressions : La beauté, la libération, l’amour, Dieu et le nirvana.
Puis dans la deuxième et dernière partie, règne une atmosphère de peur et d’angoisse. Après la mort, les quatre héroïnomanes se réveillent en enfer : toujours dans l’obscurité, de la brume apparaît ainsi que des lumières vertes. Les personnages se retrouvent coincés en enfer, dans la dépendance de l’héroïne. « Ne venez pas, ne touchez pas. Je sais, moi ! » Déclare la fille à la salive marron, une fois en enfer elle réalise que la dépendance représente la fin, la prison éternelle.
Les élèves étaient tous plongés dans l’histoire, aucun chuchotement pendant la scène, aucun portable allumé.
A la fin de la pièce, les avis étaient plutôt unanimes : ils ont tous appréciés l’histoire et la morale qu’a apportée cette pièce malgré les délires étranges des héroïnomanes.
Julie BIOUSSE Terminale 2 – 2013 / 2014